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A world in Progress
28 août 2007

Us et coutumes

Voilà quelques traditions erraniennes, avant que j'oublie, j'éditerai cet article au fur et à mesure que j'aurai des choses à y mettre.

Coutumes guerrières:

Les Boucles de Guerrier:
pour se démarquer comme guerrier parmi les gens et afficher leur niveaux, les erraniens ayant choisi cette voie portent une boucle d'oreille à gauche au niveau du cartilage. Plus cette boucle est travaillée, plus le niveau du guerrier est élevé. Cela permet aux combattant de trouver rapidement leurs semblables pour faire des match amicaux et se mesurer les uns aux autres (les Erraniens étant généralement joueur et ayant un esprit de compétition plutôt développé, ce genre de choses arrivent très souvent). Il existe aussi, mais c'est beaucoup plus rare, des guerriers qui possèdent deux boucles à cet endroit, ce sont des héros de guerre ou des combattant ayant un niveau supérieur, qui maîtrisent leur art à la perfection et qui l'ont prouvé par de hauts faits. La remise de la seconde boucle peut faire l'objet d'une grande cérémonie ou bien passer inaperçue. Le respect de cette tradition est très stricte et en général aucun guerrier ne "triche" sur son niveau.
Les plaques d'identification:
Tous les Erraniens portent une petite plaque de métal, tenue par une chaîne (autour du cou, en bracelet, accroché à la ceinture), c'est en quelque sorte une pièce d'identité, mais ceci vient d'une coutume plus ancienne. Toujours est-il que les guerriers, eux, en portent deux. Lorsqu'ils meurent au combat, le corps est incinéré, les cendres éparpillées au vent et en guise de tombe, on dépose leurs armes à terre avec cette plaque autour. La seconde plaque est retournée à la famille puis servira d'archive.

Coutumes des artistes itinérants:

Quand un jeune rentre en apprentissage dans une troupe, il lui est donné un foulard, avec le symbole de la guilde brodé dessus.
Au départ, pendant sa période d'essai, qui varie selon la spécialité et ses talents, l'apprenti doit porter le foulard en bandana.
Lorsqu'il passe élève, il le porte autour du cou, puis lorsqu'il passe pro il le porte au niveau de la taille. On peut donc connaître le grade d'un artiste en regardant la position de son foulard de guilde.
(pour avoir une illu, reportez vous à l'article ici )

Coutumes Errens:

En fait, ce n'est pas vraiment une coutume, c'est plutôt une mode (vestimentaire): ils portent en général des habits avec plusieurs couches de tissus, amples, avec beaucoup de motifs et de couleur. C'est une sorte de leurre primaire: en combat, l'adversaire peut-être troublé, voir se faire déconcentrer par les mouvements de tissus et les dessins. Ça crée des failles dans sa barrière mentale et donc il est plus facile de le soumettre.

Coutumes générales:

Les plaques d'identification: à la base, c'était une coutume elfe, en effet, lorsqu'ils se sentent proche de la mort, ils se transforment en animal pour aller mourir dans la forêt, la rivière ou l'océan afin de retourner à la terre et rentrer dans le cycle de la vie. A ce moment, ils s'abandonnent complètement à l'esprit de la nature qui les habite et partent mourir comme bête. C'est un des points essentiels de la mentalité elfe, ils revendiquent la part animale en eux, ils respectent la nature et s'y intègre en parfaite harmonie. Chasseurs autant que proies. C'est pour ça qu'à la fin de leur vie ils décident de se laisser couler tranquillement vers la mort en temps qu'animal, en laissant derrière eux leur vie pour retourner à la source. Cependant, il ne reste aucune trace de leur existence, aucune dépouille, c'est pour ça que dès qu'ils naissent, on leur fabrique une petite plaque métalliques avec leur nom et date de naissance au recto, puis au cours de leur vie, les éléments majeurs (profession, niveau de combat, grade, appartenance à une guilde, mariage...) au verso. Cette plaque fait office de dépouille pour la famille, et c'est le lien restant entre l'elfe-animal qui part et sa vie passée. Cette pratique c'est peu à peu répandu aux autres erraniens. C'est pour cela qu'on a une généalogie très précise, et ce sur plusieurs millénaires, des elfes en premier, puis des erens et des humains.
La date de la mort s'inscrit automatiquement sur la plaque, par un sort complexe qui lie la personne avec le bout de métal.

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